LEOLAM LO MEUCHAR |
Le'olam lo me'uchar
Im at otzeret rak bich'dei lomar shalom et has'fikot at motirah shuv me'achor lo me'unyenet lo rotzah shum pitaron ani ro'eh lavan ve'at ro'ah shachor lo me'unyenet lo rotzah shum pitaron ani ro'eh lavan ve'at ro'ah shachor. Eich hazman memis et hal'vavot eich hag'sharim nis'rafim achar preidot oti limdu ki le'olam lo me'uchar hen hazman hu hamarpe lechol davar oti limdu ki le'olam lo me'uchar hen hazman hu hamarpe lechol davar. Im at otzeret behechre'ach mitoch nimus kol chaverai omrim atah kol kach lachutz az bo'i nevater al kol hat'kasim lo tzarich yoter lis'moch al hanisim az bo'i nevater al kol hat'kasim lo tzarich yoter lis'moch al hanisim Eich hazman... Im chavereicha sovevim tamid s'vivcha ted'a lechol davar tamid yesh kavanah echad do'eg sheni mabit mitoch kin'ah ani ro'eh lavan vehem sham bapinah echad do'eg sheni mabit mitoch kin'ah ani ro'eh lavan vehem sham bapinah Eich hazman... |
Il n’est jamais trop tard
Si tu t’arrêtes uniquement pour dire bonjour, Tu laisses de nouveau les doutes en arrière, Tu n’es pas intéressée, tu ne veux aucune solution, Je vois blanc et tu vois noir, Tu n’es pas intéressée, tu ne veux aucune solution, Je vois blanc et tu vois noir. Comme le temps décourage les cœurs, Comme les ponts sont coupés après des séparations, On m’a appris qu’il n’est jamais trop tard, Vraiment, le temps est un remède pour toute chose, On m’a appris qu’il n’est jamais trop tard, Vraiment, le temps est un remède pour toute chose. Si tu arrêtes, par la force des choses, par souci des bonnes manières, Tous mes amis disent – Tu es trop pressé, Alors, viens, laissons toutes les convenances, Il ne faut pas trop compter sur les miracles, Alors, viens, laissons toutes les convenances, Il ne faut pas trop compter sur les miracles. Comme le temps… Si tes amis sont toujours autour de toi, Sache qu’il y a toujours une intention dans chaque chose, L’un s’inquiète, le second regarde avec jalousie, Je vois blanc mais ils sont là dans un coin. L’un s’inquiète, le second regarde avec jalousie, Je vois blanc mais ils sont là dans un coin. Comme le temps… | |
Texte : Yoav Yitzchak. |
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